En tant que psychologue, j'ai exploré la reconnaissance vocale pour la rédaction de mes notes de séance. Un point souvent négligé est la formation initiale du logiciel avec votre propre voix et terminologie. Certains outils nécessitent un temps d'adaptation pour bien comprendre les spécificités de votre langage, surtout si vous utilisez beaucoup de termes techniques.
Pour la confidentialité, assurez-vous que le logiciel utilisé est conforme aux normes RGPD et HDS. Vérifiez également où sont stockées les données et comment elles sont sécurisées. Il existe des solutions qui chiffrent les données en local, ce qui peut être une option intéressante.
En tant qu'anesth, j'ai testé plusieurs systèmes de dictée vocale, surtout pour les comptes-rendus opératoires. Pour optimiser la reconnaissance, je conseille d'utiliser un micro-casque de qualité plutôt qu'un simple micro d'ordinateur. Ça réduit les bruits ambiants et améliore la précision. 🎤
Autre chose : créez des macros pour les phrases ou termes que vous utilisez fréquemment. Ça accélère énormément la rédaction. ⏱️
Et comme RetroGizmo l'a dit, RGPD et HDS, c'est primordial ! 🔒
C'est vrai que l'investissement dans un bon micro fait toute la différence. Les macros, c'est une astuce que j'utilise aussi dans d'autres contextes, un vrai gain de temps.
Pour ceux qui veulent creuser le sujet des solutions existantes, je suis tombé sur cette vidéo qui présente Dragon Medical One de Nuance, une solution dédiée au secteur médical
Imen Yahia nous présente les bénéfices de Dragon Medical One de Nuance - La minute partenaire[/video].
Ca peut donner des pistes concrètes sur les fonctionnalités et l'ergonomie.
En tant qu'ergothérapeute, je vois aussi un autre avantage potentiel : ça peut réduire les contraintes physiques liées à la saisie, surtout pour ceux qui ont des troubles musculo-squelettiques. Une bonne posture et un micro adapté, c'est toujours mieux que de forcer sur les poignets pour taper ! 🫠
Mouais, attention quand même à pas voir la reconnaissance vocale comme une solution miracle. L'idée de réduire les TMS, c'est valable, mais faut pas que ça devienne un prétexte pour bâcler l'ergonomie du poste de travail. Si le reste est mal foutu (écran mal placé, chaise inconfortable...), ça règlera pas le problème de fond.
Bien vu Lisbeth! 👍 C'est exactement ça. Faut faire attention à pas juste remplacer un problème par un autre. Si la posture est mauvaise ou que l'éclairage est nul, dicter au lieu de taper ne changera pas grand chose au final... 😉 D'ailleurs, on pourrait même imaginer que forcer sa voix, si on n'articule pas correctement, devienne une autre source de tensions. 🗣️ Faut vraiment penser à une approche globale de l'ergonomie, et pas juste se focaliser sur la reconnaissance vocale comme une baguette magique.✨
Exactement, Fatma. ☝️ Faut pas oublier que la reconnaissance vocale, c'est un outil, pas une panacée. Si l'environnement de travail est un foutoir sans nom, ça va juste déplacer le problème. 🙄
Un truc auquel on pense pas assez : le bruit ambiant. Dans un open space ou un service d'urgence, bon courage pour dicter sans que le système comprenne la moitié de travers. 🙉 Faut vraiment prendre en compte l'acoustique du lieu et envisager des solutions d'isolation phonique, sinon c'est l'échec assuré. Et après, on se retrouve avec des erreurs dans les dossiers patients... 🤦♂️
C'est clair, Docteur House33, le bruit, c'est l'ennemi numéro un de la dictée vocale. Même avec un bon micro, dans un environnement bruyant, c'est la catastrophe assurée. Autant revenir au bon vieux clavier dans ce cas-là.
Oui, Manon, tout à fait d'accord ! 💯 Et même, je dirais que ça peut créer une surcharge mentale. 🤔 Parce qu'en plus de penser à ce qu'on veut dire, faut aussi se concentrer pour bien articuler et éviter que le logiciel fasse des erreurs. 🤯 Du coup, au lieu de gagner du temps, on en perd à devoir corriger les bêtises. 🤦♀️ C'est un peu comme vouloir aller plus vite en voiture, mais en devant constamment vérifier le GPS... 🙄
Je plussoie complètement Fatma. J'ai vu des collègues se crisper complètement à essayer de dicter, plus stressés par la machine que par le patient ! 😡
Un truc simple à tester avant d'investir : enregistrez-vous en situation réelle (bruit ambiant, etc.) et faites transcrire l'enregistrement par le logiciel. Vous aurez une idée précise du taux d'erreur et du temps de correction nécessaire. Ça évite les mauvaises surprises. 💡
Commentaires (10)
En tant que psychologue, j'ai exploré la reconnaissance vocale pour la rédaction de mes notes de séance. Un point souvent négligé est la formation initiale du logiciel avec votre propre voix et terminologie. Certains outils nécessitent un temps d'adaptation pour bien comprendre les spécificités de votre langage, surtout si vous utilisez beaucoup de termes techniques. Pour la confidentialité, assurez-vous que le logiciel utilisé est conforme aux normes RGPD et HDS. Vérifiez également où sont stockées les données et comment elles sont sécurisées. Il existe des solutions qui chiffrent les données en local, ce qui peut être une option intéressante.
En tant qu'anesth, j'ai testé plusieurs systèmes de dictée vocale, surtout pour les comptes-rendus opératoires. Pour optimiser la reconnaissance, je conseille d'utiliser un micro-casque de qualité plutôt qu'un simple micro d'ordinateur. Ça réduit les bruits ambiants et améliore la précision. 🎤 Autre chose : créez des macros pour les phrases ou termes que vous utilisez fréquemment. Ça accélère énormément la rédaction. ⏱️ Et comme RetroGizmo l'a dit, RGPD et HDS, c'est primordial ! 🔒
C'est vrai que l'investissement dans un bon micro fait toute la différence. Les macros, c'est une astuce que j'utilise aussi dans d'autres contextes, un vrai gain de temps. Pour ceux qui veulent creuser le sujet des solutions existantes, je suis tombé sur cette vidéo qui présente Dragon Medical One de Nuance, une solution dédiée au secteur médical
Imen Yahia nous présente les bénéfices de Dragon Medical One de Nuance - La minute partenaire[/video]. Ca peut donner des pistes concrètes sur les fonctionnalités et l'ergonomie.
En tant qu'ergothérapeute, je vois aussi un autre avantage potentiel : ça peut réduire les contraintes physiques liées à la saisie, surtout pour ceux qui ont des troubles musculo-squelettiques. Une bonne posture et un micro adapté, c'est toujours mieux que de forcer sur les poignets pour taper ! 🫠
Mouais, attention quand même à pas voir la reconnaissance vocale comme une solution miracle. L'idée de réduire les TMS, c'est valable, mais faut pas que ça devienne un prétexte pour bâcler l'ergonomie du poste de travail. Si le reste est mal foutu (écran mal placé, chaise inconfortable...), ça règlera pas le problème de fond.
Bien vu Lisbeth! 👍 C'est exactement ça. Faut faire attention à pas juste remplacer un problème par un autre. Si la posture est mauvaise ou que l'éclairage est nul, dicter au lieu de taper ne changera pas grand chose au final... 😉 D'ailleurs, on pourrait même imaginer que forcer sa voix, si on n'articule pas correctement, devienne une autre source de tensions. 🗣️ Faut vraiment penser à une approche globale de l'ergonomie, et pas juste se focaliser sur la reconnaissance vocale comme une baguette magique.✨
Exactement, Fatma. ☝️ Faut pas oublier que la reconnaissance vocale, c'est un outil, pas une panacée. Si l'environnement de travail est un foutoir sans nom, ça va juste déplacer le problème. 🙄 Un truc auquel on pense pas assez : le bruit ambiant. Dans un open space ou un service d'urgence, bon courage pour dicter sans que le système comprenne la moitié de travers. 🙉 Faut vraiment prendre en compte l'acoustique du lieu et envisager des solutions d'isolation phonique, sinon c'est l'échec assuré. Et après, on se retrouve avec des erreurs dans les dossiers patients... 🤦♂️
C'est clair, Docteur House33, le bruit, c'est l'ennemi numéro un de la dictée vocale. Même avec un bon micro, dans un environnement bruyant, c'est la catastrophe assurée. Autant revenir au bon vieux clavier dans ce cas-là.
Oui, Manon, tout à fait d'accord ! 💯 Et même, je dirais que ça peut créer une surcharge mentale. 🤔 Parce qu'en plus de penser à ce qu'on veut dire, faut aussi se concentrer pour bien articuler et éviter que le logiciel fasse des erreurs. 🤯 Du coup, au lieu de gagner du temps, on en perd à devoir corriger les bêtises. 🤦♀️ C'est un peu comme vouloir aller plus vite en voiture, mais en devant constamment vérifier le GPS... 🙄
Je plussoie complètement Fatma. J'ai vu des collègues se crisper complètement à essayer de dicter, plus stressés par la machine que par le patient ! 😡 Un truc simple à tester avant d'investir : enregistrez-vous en situation réelle (bruit ambiant, etc.) et faites transcrire l'enregistrement par le logiciel. Vous aurez une idée précise du taux d'erreur et du temps de correction nécessaire. Ça évite les mauvaises surprises. 💡