Que pensez-vous de l'impact du Reiki sur le bien-ĂȘtre ? Partagez vos expĂ©riences !

Posté par : Ripley - le 04 Septembre 2025

Commentaires (10)

  • Pour ceux qui cherchent Ă  explorer le Reiki et souhaitent une approche plus structurĂ©e, je suggĂšre de se renseigner sur les diffĂ©rents niveaux de certification. Cela permet non seulement d'acquĂ©rir une comprĂ©hension approfondie de la pratique, mais aussi de s'assurer que le praticien a reçu une formation adĂ©quate. Il existe des associations reconnues qui peuvent fournir des informations sur les formations certifiĂ©es dans votre rĂ©gion.

  • Le Reiki... vaste sujet ! En tant qu'homĂ©opathe, je suis naturellement ouverte aux approches Ă©nergĂ©tiques du bien-ĂȘtre, mĂȘme si elles peuvent paraĂźtre dĂ©routantes au premier abord pour certains. L'idĂ©e que l'Ă©nergie vitale puisse ĂȘtre canalisĂ©e pour favoriser la guĂ©rison est un concept que je retrouve dans de nombreuses traditions mĂ©dicales, y compris dans mes propres racines culturelles turques, oĂč certaines pratiques ancestrales font appel Ă  des notions similaires. Concernant le Reiki, je pense qu'il est essentiel d'aborder cette pratique avec un esprit Ă  la fois ouvert et critique. Il est vrai que les Ă©tudes scientifiques rigoureuses manquent encore pour valider pleinement ses effets, mais les tĂ©moignages de personnes se sentant mieux aprĂšs des sĂ©ances sont trop nombreux pour ĂȘtre ignorĂ©s. Le ressenti subjectif du patient est primordial, et si le Reiki apporte un soulagement, mĂȘme temporaire, il est important de le prendre en compte. Je pense que le commentaire d'InnovCare est pertinent, surtout pour ceux qui souhaitent approfondir leur pratique. Une formation sĂ©rieuse est indispensable pour Ă©viter les dĂ©rives et s'assurer d'une pratique respectueuse et Ă©thique. D'ailleurs, dans cette optique, je suis tombĂ©e rĂ©cemment sur Sophie formation Reiki , et leur approche m'a semblĂ© intĂ©ressante, axĂ©e sur l'authenticitĂ© et le respect de l'individu. A mon humble avis, c'est une approche qu'il faut privilĂ©gier dans ce genre de pratique. AprĂšs, il faut aussi accepter que le Reiki ne soit pas une solution miracle. Il peut ĂȘtre un complĂ©ment intĂ©ressant Ă  d'autres approches thĂ©rapeutiques, mais il ne saurait se substituer Ă  un traitement mĂ©dical conventionnel si celui-ci est nĂ©cessaire. La mĂ©decine intĂ©grative, qui combine diffĂ©rentes approches pour le bien du patient, me paraĂźt ĂȘtre la voie Ă  suivre. En tout cas, merci Ripley d'avoir lancĂ© ce sujet, c'est toujours enrichissant d'Ă©changer sur ces questions.

  • Je trouve vraiment pertinent ce que tu dis, Fatma. C'est vrai que l'ouverture d'esprit est primordiale, surtout quand on parle de pratiques comme le Reiki. Ton approche en tant qu'homĂ©opathe, avec cette perspective Ă  la fois ouverte et critique, me parle beaucoup. Cette notion d'Ă©nergie vitale qu'on retrouve dans diverses traditions, c'est quelque chose qui me fascine depuis toujours. J'ai l'impression que nos ancĂȘtres avaient une comprĂ©hension intuitive de choses que la science commence seulement Ă  effleurer aujourd'hui. Et puis, tu as raison, les tĂ©moignages sont importants. On ne peut pas les balayer d'un revers de la main. Si des gens ressentent un mieux-ĂȘtre, mĂȘme si c'est difficile Ă  quantifier, il faut le prendre en considĂ©ration. AprĂšs, c'est clair qu'il faut faire attention aux dĂ©rives. Comme dans tout, il y a des personnes sĂ©rieuses et d'autres qui le sont moins. La formation, c'est essentiel pour s'assurer d'une pratique respectueuse et Ă©thique, comme tu le soulignes. Surtout, si j'ai bien compris les donnĂ©es, les formations professionnelles nĂ©cessitent un niveau post-bac. En tant que traiteur, je suis trĂšs sensible Ă  l'idĂ©e de combiner diffĂ©rentes approches. Dans ma cuisine, j'essaie toujours de marier les saveurs, les textures, les couleurs pour crĂ©er quelque chose d'harmonieux et de bĂ©nĂ©fique pour le corps et l'esprit. Je crois que c'est pareil dans le domaine de la santĂ©. Le Reiki peut ĂȘtre une Ă©pice intĂ©ressante dans un plat plus complet, mais il ne peut pas ĂȘtre le plat principal Ă  lui seul. En tout cas, Ripley, c'est super d'avoir lancĂ© ce sujet. C'est toujours bon de pouvoir Ă©changer des idĂ©es et des expĂ©riences, surtout sur des sujets comme celui-ci qui peuvent susciter des interrogations.

  • Mouais, l'histoire des ancĂȘtres qui savaient des trucs que la science dĂ©couvre seulement... j'ai toujours un peu de mal avec ça. C'est facile de projeter nos fantasmes sur le passĂ©. On idĂ©alise souvent des Ă©poques oĂč la vie Ă©tait quand mĂȘme vachement plus rude et l'espĂ©rance de vie... bon, on la connait. Faut pas non plus tomber dans le panneau du "c'Ă©tait mieux avant". AprĂšs, chacun son truc, hein. Si ça fait du bien, tant mieux. Mais faut pas non plus gober n'importe quoi sous prĂ©texte que c'est "naturel" ou "ancestral".

  • Je suis d'accord avec Ripley sur le fait qu'il ne faut pas gober n'importe quoi sous prĂ©texte que c'est "naturel" ou "ancestral". C'est une erreur de raisonnement trĂšs courante. Il est important de toujours faire preuve d'esprit critique et de ne pas se laisser emporter par les sirĂšnes du passĂ©. On a tendance Ă  embellir le passĂ© et Ă  oublier les aspects nĂ©gatifs.

  • Je rejoins Ripley sur la nĂ©cessitĂ© de garder un esprit critique. Cependant, je pense qu'il est important de nuancer. L'attrait pour les pratiques ancestrales ne rĂ©side pas forcĂ©ment dans une idĂ©alisation du passĂ©, mais parfois dans une recherche de sens et de connexion avec des savoirs transmis de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. Il ne s'agit pas de "gober n'importe quoi", mais plutĂŽt d'explorer ces pratiques avec discernement, en les confrontant aux connaissances scientifiques actuelles et en Ă©coutant son propre ressenti.

  • C'est bien dit, InnovCare. L'idĂ©e d'explorer avec discernement, c'est la clĂ©. Faut pas fermer la porte direct, mais faut pas non plus se jeter dedans les yeux fermĂ©s. Un juste milieu, quoi.

  • Je suis d'accord avec vous deux, Ripley et InnovCare, sur le besoin d'un juste milieu. đŸ€” Il est vrai qu'on ne peut pas avaler tout cru ce qui est "ancestral" sans un minimum de recul. Par contre, rejeter en bloc, c'est dommage aussi. Ce que dit InnovCare sur la recherche de sens, je trouve ça pertinent. On vit dans un monde tellement dĂ©connectĂ©, on cherche tous, plus ou moins consciemment, Ă  retrouver un lien avec quelque chose de plus grand, de plus "vrai". Et parfois, ces pratiques ancestrales peuvent nous offrir cette connexion, ou du moins, nous mettre sur la voie. Mais bon, en tant que scientifique, je reste attachĂ©e Ă  la preuve. 🔬 Ce serait intĂ©ressant de voir des Ă©tudes sĂ©rieuses sur le Reiki, avec des protocoles rigoureux et des groupes contrĂŽles. Par exemple, des recherches sur l'impact du Reiki sur la rĂ©duction de l'anxiĂ©tĂ© ou l'amĂ©lioration de la qualitĂ© du sommeil, comparant les rĂ©sultats avec un groupe placebo. Si les donnĂ©es montraient une diffĂ©rence significative, ce serait un argument de poids. Il y a une distinction entre le Reiki "traditionnel", le Reiki "professionnel" (reikiologie) reconnu en Europe et le Reiki "originel". C'est un peu confus, non ? J'aurais tendance Ă  privilĂ©gier la reikiologie, car si les formations professionnelles nĂ©cessitent un niveau post-bac, ça me rassure un peu plus sur le sĂ©rieux de la dĂ©marche. Mais bon, ça ne fait pas tout, Ă©videmment. Il faut aussi un bon feeling avec le praticien. 😊 Bref, comme dans beaucoup de domaines, il faut faire preuve de bon sens et d'ouverture d'esprit. Ni naĂŻvetĂ©, ni scepticisme Ă  outrance. C'est tout un art ! đŸ§˜â€â™€ïž

  • ComplĂštement d'accord avec cette histoire de feeling avec le praticien, Galadriel. C'est comme pour tout, hein, que ce soit un docteur, un garagiste ou... un agent de transit ! Si t'as pas confiance, ça sert Ă  rien. 😉

  • C'est clair que le feeling, c'est primordial, Ripley. Impossible de se sentir Ă  l'aise et de lĂącher prise si on n'a pas confiance. Et le lĂącher prise, je pense que c'est une composante non nĂ©gligeable dans l'efficacitĂ© perçue de ce genre de pratiques. En rebondissant sur ce que tu disais, Galadriel, sur la nĂ©cessitĂ© d'Ă©tudes rigoureuses, j'ai trouvĂ© des donnĂ©es intĂ©ressantes. MĂȘme si elles ne sont pas toutes spĂ©cifiquement sur le Reiki, elles pointent vers l'impact de la relaxation et de la mĂ©ditation sur des marqueurs biologiques. Par exemple, une mĂ©ta-analyse de 2021 a montrĂ© que la mĂ©ditation de pleine conscience pouvait rĂ©duire significativement le taux de cortisol, l'hormone du stress, chez les participants. Bon, c'est de la mĂ©ditation, pas du Reiki, mais ça donne une idĂ©e des mĂ©canismes potentiels en jeu. Et puis, concernant le sommeil, une Ă©tude de l'UniversitĂ© de Harvard a rĂ©vĂ©lĂ© que les personnes pratiquant rĂ©guliĂšrement des techniques de relaxation, comme la respiration profonde ou la visualisation, avaient une meilleure qualitĂ© de sommeil et moins de difficultĂ©s d'endormissement. Donc, mĂȘme si on n'a pas encore de preuves irrĂ©futables pour le Reiki en particulier, on commence Ă  comprendre comment des approches similaires peuvent influencer le corps et l'esprit. AprĂšs, je comprends ton point de vue scientifique, Galadriel. Il faut des preuves solides, c'est indĂ©niable. Mais je pense aussi qu'il ne faut pas nĂ©gliger l'aspect subjectif et l'expĂ©rience individuelle. Si quelqu'un se sent mieux aprĂšs une sĂ©ance de Reiki, mĂȘme si on ne peut pas l'expliquer complĂštement, c'est dĂ©jĂ  quelque chose de positif. C'est un peu comme l'effet placebo, finalement. On sait que ça existe, et que ça peut avoir un impact rĂ©el sur la santĂ©, mĂȘme si on ne comprend pas tous les mĂ©canismes en jeu. Finalement, si la science dĂ©montre l'efficacitĂ© du Reiki, c'est top non ?