C'est une situation qui demande pas mal d'énergie, c'est vrai. Pour les aides financières, il y a aussi la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) qui peut être sollicitée pour l'Allocation Adulte Handicapé (AAH) si votre proche y est éligible. Ça peut aider pour pas mal de dépenses liées à la perte de mobilité.
L'AAH est effectivement une piste à explorer, mais il faut garder en tête que les critères d'éligibilité sont assez stricts. 🤔 Parfois, se concentrer uniquement sur cette allocation peut faire perdre du temps précieux alors que d'autres aides, peut-être moins connues mais plus adaptées à la situation spécifique, pourraient être mobilisées plus rapidement. Il est vraiment important d'avoir une vision globale des dispositifs existants. 🧐
L'AAH, oui, c'est une option, mais comme dit RetroGizmo, faut pas que ça monopolise toute l'attention. Y'a tellement de trucs qui existent et qui sont méconnus, c'est fou !
Par exemple, vous avez pensé aux aides techniques ? Ergothérapeute, c'est LE spécialiste pour ça. Iel va évaluer les besoins précis et proposer des solutions sur mesure. Ça peut aller d'une simple barre d'appui dans la salle de bain à des aménagements plus conséquents, mais toujours adaptés à la personne et à son environnement. Parce que bon, un monte-escalier c'est bien, mais si la personne se sent pas à l'aise avec, ça sert à rien.
Et niveau administratif, c'est un vrai labyrinthe, je confirme. Faut pas hésiter à se faire accompagner par une assistante sociale. Elles connaissent les rouages et peuvent vous aider à monter les dossiers, à faire les demandes, à contester les décisions si besoin. C'est leur job, autant en profiter.
Ah, et un truc auquel on ne pense pas forcément : l'adaptation du véhicule. Si la personne a besoin de se déplacer, il existe des aides pour aménager sa voiture ou pour acheter un véhicule adapté. Ça peut vraiment changer la vie. Pis vous avez vu le site <a href="https://equipersenior.fr/simulateur-aides-accessibilite/">aide PMR</a> ? Ca permet de savoir quelles aides existent selon votre situation.
Bref, faut pas se décourager, y'a des solutions. Faut juste prendre le temps de chercher et de se faire accompagner. Courage !
Et une question comme ça, est ce que vous avez pensé à faire appel à un service de maintien à domicile ? Ça peut soulager pas mal, que ce soit pour l'aide à la toilette, les repas, ou juste pour tenir compagnie. Ça permet aussi de préserver l'autonomie de la personne le plus longtemps possible. Et ça donne un peu de répit à l'aidant, ce qui est loin d'être négligeable. Parce que faut pas s'oublier, hein ! L'épuisement de l'aidant, c'est une réalité et ça peut avoir des conséquences désastreuses à long terme. Donc, on prend soin de soi aussi !
Quand tu dis qu'il faut prendre le temps de chercher, c'est TELLEMENT vrai. On se noie vite sous un tas d'infos contradictoires ou incomplètes. Et puis, faut décrypter le jargon administratif, c'est une langue à part entière ! Un accompagnement, c'est pas du luxe, c'est une nécessité.
Je suis tout à fait d'accord avec Vocabular56. L'accompagnement est primordial.
Kathryn, je vous suggère de vous renseigner auprès des CLIC (Centres Locaux d'Information et de Coordination). Ce sont des structures d'accueil, d'information et d'orientation pour les personnes âgées, les personnes handicapées et leurs proches. Ils pourront vous donner des informations personnalisées sur les aides existantes, les démarches à effectuer et les professionnels à contacter dans votre secteur. Leur rôle est justement de faciliter l'accès aux droits et aux services. C'est un bon point de départ pour y voir plus clair et ne pas se sentir submergé. Et c'est gratuit, ce qui ne gâche rien. Bon courage dans vos démarches.
CardQueen60 a raison, les CLIC c'est une excellente porte d'entrée. Et pour compléter, je vous partage une vidéo qui résume bien les aides existantes pour l'adaptation du logement, un aspect souvent négligé mais pourtant tellement important pour le maintien à domicile :
Y'a vraiment des dispositifs auxquels on ne pense pas spontanément, notamment pour les seniors, mais qui peuvent faire une vraie différence.
Galadriel, cette vidéo est très bien faite, merci de l'avoir partagée ! Elle met vraiment en lumière la diversité des aides pour l'adaptation du logement. C'est un point que Kathryn doit absolument explorer.
Je rebondis sur ce que vous avez dit, et je pense qu'il est essentiel de souligner que ces aides ne sont pas seulement destinées aux seniors. Bien sûr, les personnes âgées sont une part importante des bénéficiaires, mais les personnes plus jeunes, comme le proche de Kathryn, qui subissent une perte de mobilité suite à un accident, peuvent aussi y avoir droit. Et il ne faut pas hésiter à constituer un dossier même si on pense ne pas rentrer dans les cases. Les situations sont souvent plus complexes que ce que les critères d'éligibilité laissent entendre. L'évaluation de la MDPH prend en compte de nombreux facteurs, pas seulement l'âge ou le taux d'incapacité.
Par exemple, si l'on prend le cas de l'aménagement du logement, il faut savoir que la PCH (Prestation de Compensation du Handicap) peut prendre en charge une partie des dépenses. Mais il y a aussi d'autres dispositifs, comme les aides de l'ANAH (Agence Nationale de l'Habitat), qui peuvent être cumulables dans certains cas. L'important est de bien se renseigner sur les conditions d'attribution de chacune de ces aides et de monter un dossier solide. Les CLIC, comme je l'ai mentionné précédemment, sont d'une aide précieuse pour ça.
En tant que psychanalyste, j'ai souvent rencontré des personnes qui se sentaient complètement dépassées par ces démarches. La complexité administrative peut être un véritable frein, et il est compréhensible de se sentir découragé. Mais il est important de persévérer et de ne pas hésiter à solliciter de l'aide. Les associations, les travailleurs sociaux, les ergothérapeutes, tous ces professionnels peuvent apporter un soutien précieux. Et, comme le soulignait Zazou11, il ne faut surtout pas négliger l'importance du répit pour l'aidant. C'est un aspect souvent oublié, mais il est primordial pour préserver l'équilibre familial et éviter l'épuisement. Prendre soin de soi, c'est aussi prendre soin de l'autre.
Entièrement d'accord avec CardQueen60, surtout sur le fait de ne pas se laisser dépasser par la complexité administrative. C'est un vrai combat, mais ça vaut le coup de s'accrocher.
Zazou11, tu as tellement raison ! C'est un vrai combat, et c'est facile de baisser les bras face à la paperasse. Mais comme tu dis, il faut s'accrocher. Chaque petite victoire compte, et au final, le bien-être de notre proche en vaut la peine.
Oui, CardQueen60, ce "combat", comme dit Zazou11, me fait penser aux patients qui doivent se battre pour obtenir une prise en charge correcte de la douleur chronique. Une vraie galère administrative aussi, et un manque de reconnaissance qui ajoute à la souffrance.
Pour revenir au sujet, c'est clair que l'aspect psychologique est majeur, comme tu le soulignes avec ton expérience de psychanalyste. Ne pas hésiter à consulter, c'est un conseil précieux.
Je partage un point de vue que j'estime important dans ce genre de situation. Il peut être aidant de contacter des associations de patients ou de personnes handicapées. Elles peuvent offrir un soutien moral, des conseils pratiques basés sur l'expérience vécue, et parfois même une aide pour naviguer dans le système administratif. Le partage d'expériences peut réellement aider à se sentir moins seul et à trouver des solutions concrètes. Il y a souvent une force incroyable qui se dégage de ces communautés.
Un grand merci à tous pour vos conseils et retours d'expérience ! J'ai suivi vos suggestions et contacté le CLIC de ma ville. Ils ont été d'une aide précieuse pour y voir plus clair dans les démarches. On a pu identifier plusieurs aides auxquelles mon proche est éligible et ils nous ont même aidé à monter les dossiers. C'est un vrai soulagement de ne plus se sentir aussi seule face à tout ça. Encore merci !
Commentaires (12)
C'est une situation qui demande pas mal d'énergie, c'est vrai. Pour les aides financières, il y a aussi la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) qui peut être sollicitée pour l'Allocation Adulte Handicapé (AAH) si votre proche y est éligible. Ça peut aider pour pas mal de dépenses liées à la perte de mobilité.
L'AAH est effectivement une piste à explorer, mais il faut garder en tête que les critères d'éligibilité sont assez stricts. 🤔 Parfois, se concentrer uniquement sur cette allocation peut faire perdre du temps précieux alors que d'autres aides, peut-être moins connues mais plus adaptées à la situation spécifique, pourraient être mobilisées plus rapidement. Il est vraiment important d'avoir une vision globale des dispositifs existants. 🧐
L'AAH, oui, c'est une option, mais comme dit RetroGizmo, faut pas que ça monopolise toute l'attention. Y'a tellement de trucs qui existent et qui sont méconnus, c'est fou ! Par exemple, vous avez pensé aux aides techniques ? Ergothérapeute, c'est LE spécialiste pour ça. Iel va évaluer les besoins précis et proposer des solutions sur mesure. Ça peut aller d'une simple barre d'appui dans la salle de bain à des aménagements plus conséquents, mais toujours adaptés à la personne et à son environnement. Parce que bon, un monte-escalier c'est bien, mais si la personne se sent pas à l'aise avec, ça sert à rien. Et niveau administratif, c'est un vrai labyrinthe, je confirme. Faut pas hésiter à se faire accompagner par une assistante sociale. Elles connaissent les rouages et peuvent vous aider à monter les dossiers, à faire les demandes, à contester les décisions si besoin. C'est leur job, autant en profiter. Ah, et un truc auquel on ne pense pas forcément : l'adaptation du véhicule. Si la personne a besoin de se déplacer, il existe des aides pour aménager sa voiture ou pour acheter un véhicule adapté. Ça peut vraiment changer la vie. Pis vous avez vu le site <a href="https://equipersenior.fr/simulateur-aides-accessibilite/">aide PMR</a> ? Ca permet de savoir quelles aides existent selon votre situation. Bref, faut pas se décourager, y'a des solutions. Faut juste prendre le temps de chercher et de se faire accompagner. Courage ! Et une question comme ça, est ce que vous avez pensé à faire appel à un service de maintien à domicile ? Ça peut soulager pas mal, que ce soit pour l'aide à la toilette, les repas, ou juste pour tenir compagnie. Ça permet aussi de préserver l'autonomie de la personne le plus longtemps possible. Et ça donne un peu de répit à l'aidant, ce qui est loin d'être négligeable. Parce que faut pas s'oublier, hein ! L'épuisement de l'aidant, c'est une réalité et ça peut avoir des conséquences désastreuses à long terme. Donc, on prend soin de soi aussi !
Quand tu dis qu'il faut prendre le temps de chercher, c'est TELLEMENT vrai. On se noie vite sous un tas d'infos contradictoires ou incomplètes. Et puis, faut décrypter le jargon administratif, c'est une langue à part entière ! Un accompagnement, c'est pas du luxe, c'est une nécessité.
Je suis tout à fait d'accord avec Vocabular56. L'accompagnement est primordial. Kathryn, je vous suggère de vous renseigner auprès des CLIC (Centres Locaux d'Information et de Coordination). Ce sont des structures d'accueil, d'information et d'orientation pour les personnes âgées, les personnes handicapées et leurs proches. Ils pourront vous donner des informations personnalisées sur les aides existantes, les démarches à effectuer et les professionnels à contacter dans votre secteur. Leur rôle est justement de faciliter l'accès aux droits et aux services. C'est un bon point de départ pour y voir plus clair et ne pas se sentir submergé. Et c'est gratuit, ce qui ne gâche rien. Bon courage dans vos démarches.
CardQueen60 a raison, les CLIC c'est une excellente porte d'entrée. Et pour compléter, je vous partage une vidéo qui résume bien les aides existantes pour l'adaptation du logement, un aspect souvent négligé mais pourtant tellement important pour le maintien à domicile :
Y'a vraiment des dispositifs auxquels on ne pense pas spontanément, notamment pour les seniors, mais qui peuvent faire une vraie différence.
Galadriel, cette vidéo est très bien faite, merci de l'avoir partagée ! Elle met vraiment en lumière la diversité des aides pour l'adaptation du logement. C'est un point que Kathryn doit absolument explorer. Je rebondis sur ce que vous avez dit, et je pense qu'il est essentiel de souligner que ces aides ne sont pas seulement destinées aux seniors. Bien sûr, les personnes âgées sont une part importante des bénéficiaires, mais les personnes plus jeunes, comme le proche de Kathryn, qui subissent une perte de mobilité suite à un accident, peuvent aussi y avoir droit. Et il ne faut pas hésiter à constituer un dossier même si on pense ne pas rentrer dans les cases. Les situations sont souvent plus complexes que ce que les critères d'éligibilité laissent entendre. L'évaluation de la MDPH prend en compte de nombreux facteurs, pas seulement l'âge ou le taux d'incapacité. Par exemple, si l'on prend le cas de l'aménagement du logement, il faut savoir que la PCH (Prestation de Compensation du Handicap) peut prendre en charge une partie des dépenses. Mais il y a aussi d'autres dispositifs, comme les aides de l'ANAH (Agence Nationale de l'Habitat), qui peuvent être cumulables dans certains cas. L'important est de bien se renseigner sur les conditions d'attribution de chacune de ces aides et de monter un dossier solide. Les CLIC, comme je l'ai mentionné précédemment, sont d'une aide précieuse pour ça. En tant que psychanalyste, j'ai souvent rencontré des personnes qui se sentaient complètement dépassées par ces démarches. La complexité administrative peut être un véritable frein, et il est compréhensible de se sentir découragé. Mais il est important de persévérer et de ne pas hésiter à solliciter de l'aide. Les associations, les travailleurs sociaux, les ergothérapeutes, tous ces professionnels peuvent apporter un soutien précieux. Et, comme le soulignait Zazou11, il ne faut surtout pas négliger l'importance du répit pour l'aidant. C'est un aspect souvent oublié, mais il est primordial pour préserver l'équilibre familial et éviter l'épuisement. Prendre soin de soi, c'est aussi prendre soin de l'autre.
Entièrement d'accord avec CardQueen60, surtout sur le fait de ne pas se laisser dépasser par la complexité administrative. C'est un vrai combat, mais ça vaut le coup de s'accrocher.
Zazou11, tu as tellement raison ! C'est un vrai combat, et c'est facile de baisser les bras face à la paperasse. Mais comme tu dis, il faut s'accrocher. Chaque petite victoire compte, et au final, le bien-être de notre proche en vaut la peine.
Oui, CardQueen60, ce "combat", comme dit Zazou11, me fait penser aux patients qui doivent se battre pour obtenir une prise en charge correcte de la douleur chronique. Une vraie galère administrative aussi, et un manque de reconnaissance qui ajoute à la souffrance. Pour revenir au sujet, c'est clair que l'aspect psychologique est majeur, comme tu le soulignes avec ton expérience de psychanalyste. Ne pas hésiter à consulter, c'est un conseil précieux.
Je partage un point de vue que j'estime important dans ce genre de situation. Il peut être aidant de contacter des associations de patients ou de personnes handicapées. Elles peuvent offrir un soutien moral, des conseils pratiques basés sur l'expérience vécue, et parfois même une aide pour naviguer dans le système administratif. Le partage d'expériences peut réellement aider à se sentir moins seul et à trouver des solutions concrètes. Il y a souvent une force incroyable qui se dégage de ces communautés.
Un grand merci à tous pour vos conseils et retours d'expérience ! J'ai suivi vos suggestions et contacté le CLIC de ma ville. Ils ont été d'une aide précieuse pour y voir plus clair dans les démarches. On a pu identifier plusieurs aides auxquelles mon proche est éligible et ils nous ont même aidé à monter les dossiers. C'est un vrai soulagement de ne plus se sentir aussi seule face à tout ça. Encore merci !